"La culture n'est pas un luxe, c'est une nécessité"

Partant de cette notion fondamentale exprimée par Gao Xingjian, ce blog a pour but de partager les connaissances dans tous les domaines de l'histoire de l'art occidental.

Des périodes antiques à la période contemporaine, le lecteur est invité au voyage par des articles à vocation scientifique, mais accessibles à tous.

S'interroger, historiciser, expliquer en gardant un esprit critique et humaniser l'histoire au travers des productions et oeuvres sont les critères essentiels de cette page. De nouvelles perspectives naissent ainsi du croisement des regards, des conceptions, de la connaissance des artisanats et des arts.

Rédigé par une docteur spécialisée en iconographie, ATER à l'Université de Poitiers, ce blog a également la volonté d'intégrer de jeunes chercheurs passionnés, désireux de partager leurs connaissances et leurs savoirs par la publication d'articles.



" The culture is not a luxury, it is a necessity " This notion expressed by Gao Xingjian, is the foundation for the blog, who aims at sharing the knowledge in all the domains of the art history. From Antique periods to the contemporary period, the reader is invited in the journey by articles with scientific vocation, but accessible to everyone. Wondering, historicizing, explaining by a critical spirit and humanizing the history through the productions and works are the essential criteria of this page. New perspectives arise from the crossing of the glances, conceptions, knowledges. Drafted by a PhD Doctor specialized in iconography, this blog also has the will to join young researchers, avid to share their knowledges by the publication of articles. English summaries will be proposed (see article : the blog evolves - le Blog évolue)


samedi 25 février 2012

Colloque : Anne de France, art et pouvoir en 1500

Anne de France, détail, retable de l'Immaculée Conception, 1498-1499, (c) Cathédrale de Moulins


"Diptyque pour un double portrait de Madame la Grande : En politique habile, dissimulée derrière sa «faiblesse féminine», elle gouverne à travers les hommes qui l’entourent : le roi Charles VIII son frère, le duc de Bourbon son époux et, dans une moindre mesure, le connétable son gendre. Mécène à l’avant-garde de la Renaissance, elle accueille à Moulins les artistes les plus doués de son temps et leur commande de véritables chefs-d’oeuvre’heure est en effet au mécénat féminin, en cette période de transition qui voit émerger des commandes exceptionnelles… Dans le sillage de l’exposition France 1500, la ville de Moulins, ville d’art et d’histoire, a souhaité réunir cecolloque autour de l’un des personnages clés de cette période" (site de la ville - colloque)
Colloque le 30 et 31 mars 2012 à Moulins 

jeudi 23 février 2012

Un nouveau site internet pédagogique


La Réunion des Musées Nationaux - Grand Palais (RMN-GP) publie un site internet consacré à l’histoire de l’art, destiné à un public de non initiés et d’enseignants, dans une volonté de pédagogie. A découvrir ... 


 "Panorama de l'Art" : http://www.panoramadelart.com/


The french RMN-Gp publishes a pedadogic web site dedicated to Art History, intended for an  uninitiated public and teachers. To discover...

vendredi 17 février 2012

Exposition : Peindre en Toscane entre Gothique et Renaissance



La redécouverte d'un retable oublié de Giovanni Battista di Gerio

Exposition temporaire au Musée du Petit Palais d'Avignon, 
du 18 février au 2 septembre 2012

The rediscovery of an forgotten altarpiece by Giovanni Battista di Gerio
Temporary exhibition, Museum of Petit Palais of Avignon, February 18th - September 2nd, 2012



"Afin de faire découvrir ou redécouvrir la richesse de la collection de primitifs italiens déposée par le Musée du Louvre à Avignon en 1976, le Musée du Petit Palais présente, du 18 février jusqu'au 2 septembre 2012, une exposition-dossier intitulée peindre en toscane entre gothique et renaissance. La redécouverte d'un retable oublié de Battista di Gerio. 
Cette exposition, conçue par Dominique Vingtain, conservateur du musée du Petit Palais en collaboration avec le Centre Interrégional de Conservation et Restauration du Patrimoine de Marseille et le Museo Nazionale di Villa Guinigi à Lucques, permettra de reconstituer et de dévoiler une oeuvre importante de Battista di Gerio, peintre ayant travaillé à Lucques au début du XVe siècle : le triptyque de l'église San Quirico all'Olivo. La reconstitution de ce triptyque dont les divers panneaux appartiennent respectivement à Avignon, Lucques et Philadelphie, sera accompagnée d'un dispositif didactique présentant les études scientifiques des panneaux d'Avignon et de Lucques ainsi que les restaurations récentes dont ils viennent de faire l'objet.
Cette exposition sera présentée à Lucques à compter du 6 juillet sous une forme différente mais autour du noyau central de la reconstitution du triptyque, remplacé à ce moment-là à Avignon par des fac-similés." (Site du musée)


Chrystel Lupant

dimanche 12 février 2012

Conférence : POMPÉI, QUEL PATRIMOINE POUR L’AVENIR ?


Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse. Conférence dans le cadre du Master recherche et Master patrimoine
"POMPÉI, QUEL PATRIMOINE POUR L’AVENIR ?"
Conférence par Madame Alix Barbet, Directrice de recherche honoraire du CNRS. A l’université d’Avignon, site Sainte Marthe, le 15 février 2012 – 17 h 30  - bâtiment de la Bibliothèque.

« Pompéi, redécouverte en 1748, est un des sites  archéologiques les plus étendus et qui a révélé une civilisation de la vie quotidienne alors inconnue. Les fouilles n’ont pas cessé depuis et la préservation de ce patrimoine, visité par des millions de touristes, pose un véritable problème comme les récents effondrements l’ont révélé. Classée au patrimoine mondial de l’humanité en 1997 par l’UNESCO Pompéi souffre de plusieurs maux. La conférencière s’attachera à exposer les éléments parvenus à sa connaissance, suite  à  la mission conjointe ICOMOS-UNESCO dont elle a fait partie, et montrera également les nouvelles approches scientifiques pour valoriser ce patrimoine qui ne se limite pas à la seule ville de Pompéi ».
Conférence ouverte au public, organisée par Eric Morvillez, Maître de conférences en histoire ancienne – UAPV. CNRS, UMR 8167 , Orient & Méditerranée et UMR 8210 Anhima, anthropologie et histoire des mondes antique

samedi 11 février 2012

Patrick Varrot, Publications

Vous trouverez ci-après les publications de Patrick Varrot, auto-entrepreneur en formation, recherche et publication en histoire de l'art. 
Coordonnées à l'issue de cet article. 
Photographies non libres de droit, (c) Patrick Varrot


VARROT P., Balthazard Lomellin, peintre aixois (v. 1560-1623). Etude autour de neuf œuvres conservées en Provence

Janvier 2009
42 pages, 47 illustrations couleurs et noir et blanc.

Balthazard Lomellin demeure un peintre des plus prolifiques à la fin de la Renaissance en Provence.  La dynastie à laquelle il est rattaché est originaire du Piémont d'où provient son grand-père Manuel Lomellini dit Genovese, bien connu des historiens des Primitifs aixois. L'activité de Balthazard s'étend du Pays d'Aix à la région de Brignoles et à la Haute Provence. A partir de trois œuvres conservées à Brignoles et à Esparron-de-Pallières, signées et datées, cette étude fait le point sur sa culture et ses pratiques artistiques ainsi que sur son entourage. Il se révèle ainsi comme peintre du Président du Parlement Louis du Chaine, et habile inventeur d'architectures fictives. On y prend connaissance de quelques attributions inédites : un panneau daté de 1582 à Moustiers-Sainte-Marie, le monumental Jugement Dernier peint au revers de la façade de l'ancienne église des Dominicains de Saint-Maximin, les peintures murales du cloître du couvent des Minimes de Pourrières, au Musée Arbaud d'Aix une rare toile peinte d'après une sculpture disparue de Sainte Marthe de Tarascon, enfin un curieux et époustouflant devant d'autel déposé dans les réserves du Musée d'Art et d'Histoire de Grasse.





VARROT P., La Circoncision du Christ d'Esprit Castagnier (1624). Enquête sur un tableau méconnu à l'Hôtel de Ville de Marignane
Mars 2009
31 pages, 18 illustrations couleurs et noir et blanc.

La peinture à Marseille au début du XVIIe siècle reste bien méconnue au-delà des quelques œuvres laissées par le Brugeois Louis Finson lors de son passage en 1613. Esprit Castagnier, connu de 1622 à 1660, fut le peintre officiel de la ville de Marseille, tout comme son aïeul arrivé de Joyeuse en Ardèche. Sa biographie permet de mettre à jour l'histoire d'une famille de peintres connue sur cinq générations jusqu'à la fin du XVIIe siècle, mais dont ne subsiste qu'une œuvre à Marignane précisément due à Esprit. L'hypothèse d'une attribution à son père Bertrand, celle d'un rare ex-voto de la fin du XVIe siècle de la chapelle Saint-Jean-de-Garguier à Gémenos, pourrait timidement compléter le catalogue dynastique. La toile marignanaise d'Esprit provient de l'ancienne chapelle des Pénitents Blancs. Castagnier y copie très précocement la fameuse Circoncision de Louis Finson ornant l'autel de la chapelle des Jésuites de Poitiers, visiblement sans l'aide d'une gravure intermédiaire. Cette étude livre les conditions de la commande d'un tableau directement lié à l'attention que portait l'archevêque d'Arles Gaspard du Laurens à la vie des paroisses ainsi qu'au développement des confréries de son diocèse. L'histoire de l'art européen y est également interrogée par la remise en question de la genèse d'une œuvre de Finson internationalement connue.




VARROT P. Joseph Blaÿ, peintre de Martigues (1741-1795).
Etude autour de quatorze œuvres du pourtour de l’Etang de Berre
55 pages, 63 illustrations couleurs et noir et blanc.

La vie artistique autour de l'Etang de Berre n'est souvent évoquée qu'à partir des paysagistes du XIXe siècle. Un siècle auparavant y œuvrait activement une famille de peintres issue du monde des pêcheurs. Joseph Blaÿ, second de la lignée, se forme auprès de son père sur le chantier du décor de la chapelle des Pénitents Blancs de Martigues. Quelques détails pourraient, observés de près, avoir été peints de sa main. On ne connaissait de lui qu'une toile à Martigues, et un décor plafonnant à Vitrolles. Une enquête dans les archives ainsi que dans les édifices religieux du pourtour de l'Etang de Berre, permet de lui attribuer avec certitude un ensemble d'œuvres cohérent. D'abord populaires, puis baroques, ses images annoncent enfin le néo-classicisme. Il en va ainsi d'une série d'ex-voto à Gignac-la-Nerthe, Marignane et Berre, de toiles à Saint-Mitre-les-Remparts, Châteauneuf-lès-Martigues, Gignac-la-Nerthe et Marignane. Sa biographie très détaillée révèle un peintre proche de la population locale à qui il prête inlassablement d'importantes sommes d'argent. L'héritage de Blaÿ ne se limite pas aux localités environnantes puisque cette étude confirme ses liens étroits avec son neveu et apprenti Joseph Flaugier, chef de file du néo-classicisme catalan et fondateur du Musée d'art de Barcelone. Enfin, la découverte de l'activité d'un autre neveu formé par ses soins, un énigmatique " Bernard du Martigues ", devrait aboutir à l'établissement d'un riche catalogue d'ex-voto et toiles empreints de l'héritage néo-classique propre à la Restauration.




VARROT P., Jean-Baptiste Daret, peintre aixois (1649-1725).
Vie et œuvre d’un fils de Jean Daret
Mars 2010
45 pages, 49 illustrations couleurs et noir et blanc.

Jean-Baptiste Daret fait partie de ces artistes cachés par l'ombre de leur père. Si la Provence s'enorgueillit très tôt des chefs-d'œuvre de l'illustre Jean Daret, elle relégua ses deux fils Michel et Jean-Baptiste à un rang secondaire. La biographie revisitée du dernier laisse cependant supposer une activité pour des personnalités du cercle parlementaire. Une régulière association avec son frère, aussi ingénieur, donna quelques fastueux décors redécouverts grâce à la restauration d'un tondo du Parlement de Provence, à deux toiles sorties de la confidentialité d'un château aixois lors d'une vente publique et attribuées aux deux frères. Le Musée Brignolais conserve la première toile exécutée par Jean-Baptiste seul. La publication du prix-fait la replace dans la tradition des retables de confréries de métiers et y occasionne la découverte d'une navette de tisserand curieusement peinte aux pieds de la Sainte Famille. L'observation d'un style bien personnel permet de déterminer les parties dues à Jean-Baptiste sur d'autres toiles exécutées par les frères Daret. Le retable de Pontevès, signé par Michel, s'avèrerait ainsi une œuvre à deux mains, les tondi de l'église de Pertuis, bien que confiés aux deux Daret par le prix-fait, ne porteraient que l'empreinte de Jean-Baptiste. Enfin la Cène de la cathédrale d'Aix, donnée par tous les guides à Jean Daret alors qu'il ne la laissa qu'ébauchée à son décès, révèle très tôt des traits caractéristiques de chacun de ses fils peintres. Le catalogue s'achève par une publication des gravures des derniers grands décors baroques éphémères connus en Provence, réalisés sous la conduite de Jean-Baptiste pour les peintures.



VARROT P., André Carton dit Hurlupin, un peintre de la Renaissance à Draguignan. Etude autour de neuf œuvres conservées dans le Var
Janvier 2011
65 pages, 77 illustrations couleurs et noir et blanc.

Peintre du XVIe siècle connu en Provence par une œuvre signée, " Hurlupin " est l'auteur du
triptyque de Saint Antoine à Cogolin. Frédéric Mireur, archiviste du  Var, l'avait déjà identifié à André Carton actif à Draguignan de 1528 à 1581. Il lui avait consacré une biographie encore méconnue, s’interrogeant sur ce sobriquet aux sonorités médiévales mais pas forcément provençales. La présente étude évoque une probable provenance picarde, un possible passage à Paris, une formation certainement parfaite dans le cercle des Bréa. Le rassemblement de sources éparses, la relecture des documents cités par Mireur ne pouvaient que s'accompagner d'une enquête sur l'œuvre dont tous les auteurs déplorent la méconnaissance. Les rapprochements permis par une riche iconographie confirment les intuitions d'anciens érudits et posent les bases d'attributions inédites. Quelle évolution donc pour celui qui, traversant le siècle, peint encore en 1540 dans la tradition des Primitifs ? Observations et informations tentent de suivre l'activité d'un peintre auquel est ici donné un groupe d'œuvres de tout l'ancien diocèse de Fréjus. La célèbre Vierge du Rosaire de Notre-Dame-du-Peuple à Draguignan perd ainsi son anonymat, la délicate Adoration de l'Enfant Jésus de la chapelle du
château de Sainte-Roseline aux Arcs trouve un éclairage sur ses accents à la fois italiens et
flamands, le très primitif panneau de Saint Antoine de Trans se voit rajeunir de quelque vingt ou trente ans. Le triptyque et la prédelle de Saint Auxile de Callas, deux retables de Roquebrune sortent enfin d'un très long silence et d'une ombre pesante.




VARROT P., Joseph-Antoine Bernard (vers 1762 - 1835).
Un peintre de Martigues sous la Révolution, l'Empire et la Restauration. Etude autour de 25 œuvres du pourtour de l'Etang de Berre
Mars 2011
56 pages, 84 illustrations couleurs et noir et blanc.

Un mystérieux Bernard du Martigues était jusqu'à présent connu par deux toiles signées, ainsi qu'une mention d'archive publiée. Le peintre martégal Joseph Blaÿ (vers 1740-1795), décédé veuf et sans enfant, léguait en partie ses biens à son neveu Joseph-Bernard Flaugier, peintre bien connu des historiens de l'art catalans, initiateur du néo-classicisme espagnol et fondateur du musée d'art de Barcelone. Blaÿ réservait également une part de son héritage à sa sœur, épouse de Sébastien Bernard, et ses enfants. Voici Bernard enfin révélé, Joseph-Antoine de son prénom, neveu d'un peintre, cousin d'un peintre, mais également frère cadet d'un peintre,
" peintre en histoire ", né vers 1762 dans le quartier de Jonquières, décédé en 1835, probablement du choléra. Les registres des notaires de Martigues livrent une centaine de documents, dont l'inattendu inventaire de la succession décrivant sa collection et son atelier. Restait à reconstituer l'œuvre. Bernard fait partie de ces artistes bénéficiaires du Concordat de 1801 ayant restauré les commandes de peintures religieuses. Comparaisons, analogies avec un groupe de trois œuvres signées alimentent un catalogue aujourd'hui riche de vingt-cinq numéros, parmi lesquels un grand nombre d'ex-voto, une bannière de procession, de grandes toiles religieuses, un portrait, répartis sur tout le pourtour de l'Etang (Martigues, Istres, Miramas, Saint-Chamas, Vitrolles, Marignane, Gignac-la-Nerthe, Vernègues). L'inventaire de sa succession laisse supposer une activité de portraitiste et de décorateur, peut-être pour le théâtre d'Avignon, ainsi que des rapports étroits avec le peintre de marines Louis Mille.



VARROT P., Etienne Peson, Jean Cordonnier et la peinture à Marseille autour de 1520. Etude autour de nouveaux documents et de deux œuvres inédites
Novembre 2011
74 pages, 38 illustrations couleurs et noir et blanc.

Etienne Peson et Jean Cordonnier : deux noms classés dans le dossier des Primitifs marseillais, deux peintres associés au début du XVIe siècle, redécouverts  par des érudits du XIXe siècle, mais dont seules deux œuvres ont pu être identifiées. Un gisement dormait encore dans le fonds Pierre Bertas des Archives Municipales de Marseille. Comme pièces maîtresses s'y succèdent les relevés sur Jean Peson, fils d'Etienne, peintre aussi, les nombreux documents sur la famille de Cordonnier, dont la mention du testament de ce dernier. C'est d'abord sur la personnalité des peintres et de leurs commanditaires que les questions s'enchaînent : les origines d'un Peson, peut-être plus arlésien que marseillais, le lien d'un Cordonnier avec Georges Trubert, historieur du Roi René, les rapports avec la famille Droin, dynastie de peintres verriers, avec plusieurs artistes en transit de la Provence orientale à Avignon, les Dupin, riches calfats,  Monet Olivier, prêtre, fermier et client de Peson.
De l'impressionnante production de ces ateliers maîtrisant peinture et menuiserie, liant collaborateurs, apprentis et sous-traitants restait à trouver des vestiges. L'immense panneau de Pignans dans le Var, probable Pietà des calfats peinte par Cordonnier, la curieuse Annonciation de Saint-Philippe à Marseille tentent de compléter un catalogue témoignant encore timidement de l'activité picturale marseillaise des années 1520.




Patrick Varrot





vendredi 3 février 2012

Mise à jour - Update

Mise à jour de la page "Actualités" : expositions nationales et appel à contribution (Rencontre internationale jeunes chercheurs : "Patrimoines urbains en récits", Montréal)

Update of the "News page" : national exhibitions and call for papers ("Urban heritage as narrative", Montreal)

jeudi 2 février 2012



Pour la première fois au cinéma, les cinémas Gaumont et Pathé proposent aux spectateurs de vivre l’expérience inédite d’une visite guidée exclusive sur grand écran de l'exposition    « Leonard de Vinci » filmée à la National Gallery de Londres.  

Cette retransmission sera l’unique et dernière occasion de découvrir une des plus vastes collections d'œuvres de l’artiste jamais présentée, réunissant 60 tableaux et dessins.

Axée sur le carrière du maître à la cour de Ludovico Sforza dans les années 1480-1490, l’exposition très largement plébiscitée par le public est exceptionnelle par ses soixante œuvres (peintures, dessins, esquisses, etc.) mais aussi par la fragilité des œuvres rendant l’itinérance dans d’autres villes impossible.  

L’historien de l’art Tim Marlow présentera une sélection d’œuvres au public cinéphile pendant 105 minutes, en haute définition et en version originale sous-titrée en français.

Informations : 
Gaumont-Pathé Live, le 16 février 2012 à 20h. Plein tarif 12 €, tarif réduit : 8€




For the first time on wide screen, the French cinemas Gaumont and Pathé suggests to spectators to live the new experience of an exclusive conducted tour on big screen of the exhibition " Leonardo da Vinci " filmed at the National Gallery of London.  
This broadcast will be the unique and last opportunity to discover one of the vastest collections of works of the artist, gathering 60 paintings and drawings.

Centred on the master's career at Ludovico Sforza's court in the years 1480-1490, the exhibition very widely approved by a large majority is exceptional by its sixty works but also by the fragility of the works, making the touring in the other cities impossible.  

The art historian Tim Marlow will present a selection of works to the wide screen public during 105 minutes, in high definition and in original English version with subtitles in French.


Informations : 
Gaumont-Pathé Live, 2012-02-16, 8p.m.. 

Full price 12 €, reduction : 8€